sorcellerie : la magie et rituels

L'influence de la culture populaire a permis à d'autres pratiques d'être tirées sous la large bannière de la sorcellerie y compris le concept du satanisme. Alors que l'invocation des démons ou des esprits est une partie acceptée de la magie noire, cette pratique est distincte de l'adoration ou la réunification de ces êtres spirituels. les deux sont généralement combinés dans les croyances médiévales sur la sorcellerie.

Sorcellerie histoire et religion

La sorcellerie, elle aussi, a été associé à la «magie noire» moderne; ensemble dans la culture populaire et la fiction. Cependant, tandis que le sorcier ou maître mage peut être accepté les pratiques de magie noire, le vaudou a sa propre histoire et traditions distinctes qui ont peu à voir avec les traditions de la sorcellerie moderne qui s'est développée avec les praticiens européens comme Harry Potter ou la sorcière blanche.

En fait, la tradition des mages fait sa propre distinction entre la magie noire et blanche, avec des sorciers comme rituels connu pour l'utilisation de la magie et les rituels des deux. Mais leur penchant pour la magie associée à des malédictions, des poisons et des zombies signifie qu'ils, et le vaudou en général, sont régulièrement associés à la magie noire en particulier.

la sorcellerie rituel puissant

La définition de la sorcellerie varie selon la tradition et les buts de ceux qui la suivent, de son origine religieuse comme partie intégrante du judaïsme, à son plus tard chrétien, nouvel âge, et occultistes/occidentaux ésotériques adaptations syncrétiques. La Kabbale est un ensemble d'enseignements ésotériques destinés à expliquer la relation entre un immuable, éternelle, et mystérieuse et l'univers mortel et fini (la création de Dieu). Bien qu'il soit fortement utilisé par certaines confessions, ce n'est pas une confession religieuse en soi. Elle constitue les fondements de l'interprétation religieuse mystique. La sorcellerie cherche à définir la nature de l'univers et l'être humain, la nature et le but de l'existence, et diverses autres questions ontologiques. Il présente également des méthodes pour aider à la compréhension des concepts et ainsi atteindre la réalisation spirituelle.

La Kabbale s'est développée à l'origine dans le domaine de la tradition juive, et les kabbalistes utilisent souvent des sources de sorcellerie pour expliquer et démontrer ses enseignements ésotériques. Ces enseignements sont tenus par des adeptes du judaïsme pour définir la signification intérieure de la Bible hébraïque et de la littérature rabbinique traditionnelle et de leur dimension transmise autrefois cachée, ainsi que pour expliquer l'importance des observances religieuses.

Sorcellerie et la magie kabbale 

Les praticiens traditionnels croient que ses premières origines prédites les religions mondiales, formant le modèle primordial pour les philosophies, les religions, les sciences, les arts et les systèmes politiques de la création. Historiquement, la sorcellerie émergea, après des formes antérieures de mysticisme juif, dans le sud de la France au XIIIe siècle, devenant réinterprétée dans la Renaissance mystique du XVIe siècle. Le sorcier est considéré comme le père de la Kabbale contemporaine. Il a été popularisé sous forme de judaïsme orthodoxe à partir du XVIIIe siècle. L'intérêt du XXe siècle pour la sorcellerie a inspiré le renouveau sorcier interconfessionnel et a contribué à une plus large spiritualité contemporaine des rituels, tout en engageant son émergence florissante et sa préaccentuation historique par le biais de nouvelle enquête académique.

La sorcellerie est considérée par ses disciples comme une partie nécessaire de l'étude de la magie et des rituels puissants (la littérature française) étant un devoir inhérent des mages et sorcières.

Sorcellerie et puissance des rituels

L'étude académique historique moderne du mysticisme ésotérique se réserve le terme «la magie Kabbale» pour désigner les doctrines particulières, distinctives qui sont apparues textuellement pleinement exprimées au moyen âge, par opposition aux concepts et méthodes mystiques rites. Selon cette catégorisation descriptive, les deux versions de la théorie de sorcellerie, le sorcier et le Lurianic précoce moderne de la Kabbale forment ensemble la tradition théosophique dans la sorcellerie, tandis que le rituel méditatif extatique incorpore une tradition médiévale interconnexe parallèle. Une troisième tradition, liée, mais plus évitée, implique les objectifs magiques de la sorcellerie pratique. Le sorcier, par exemple, écrit que ces 3 modèles de base peuvent être discernés en fonctionnement et en compétition tout au long de l'histoire du mysticisme magique, au-delà du fond des mages particuliers du moyen âge. Ils peuvent être aisément distingués par leur intention de base à l'égard de Dieu:

• La tradition théosophique de la sorcellerie marocaine (l'objectif principal du grand mage sorcier) cherche à comprendre et à décrire le Royaume divin. Comme une alternative à la philosophie rationaliste, en particulier l'aristotélisme Maïmonide, cette spéculation est devenue la composante centrale de la Kabbale et la sorcellerie.
• La tradition extatique de la sorcellerie méditative (illustrée par Abulafia et Isaac d'acre) s'efforce de parvenir à une union mystique avec Dieu. Abraham Abulafia "la sorcellerie" a été l'exemple suprême de ce, bien que marginale dans le développement kabbalistique, et son alternative au programme de théosophique Kabbale.

Sorcellerie et magie

La tradition Magico theurgical de la sorcellerie pratique (dans des manuscrits souvent inédits) s'efforce de modifier à la fois les royaumes divins et le monde. Tandis que quelques interprétations de la prière voient son rôle comme manipulant les forces célestes, la sorcellerie pratique a correctement impliqué des actes de magie blanche, et a été censurée par les sorciers pour seulement ceux complètement purs d'intention. Par conséquent, il a formé une tradition mineure séparée évitée de la magie. La pratique de l’occultisme a été interdite par le roi jusqu'à ce que le temple soit reconstruit et que l'état de pureté des rituels de sorcellerie requis soit atteint.